dimanche 6 janvier 2008

OUI à l'aménagement de la N10


Le projet gouvernemental de prolongement de l’autoroute A12 de Montigny-le-Bretonneux aux Essarts-le-Roi, initialement prévu pour l’horizon 2020, a été relancé en 2004 par le Ministre des transports Dominique Perben.

Il a été décidé un prolongement de 15 kilomètres avec la création de 5 échangeurs et de plusieurs tranchées couvertes. Ce prolongement commence en tunnel à la fin de l’autoroute actuelle, au croisement de la route nationale N10, puis longe Montigny-le-Bretonneux, la zone d’activités de Trappes et traverse les communes de la Verrière et du Mesnil-Saint-Denis, pour se terminer en contournant les Essarts-le-Roi par l’ouest pour rejoindre la nationale N10 à l’échangeur avec la D191.

Ce tracé ne tient pas compte des spécificités du territoire concerné. En effet, il traverse à plusieurs reprises le Parc national régional de la haute vallée de Chevreuse, passant même, par endroit, à la limite de la zone protégée. De ce fait, les nuisances causées par le flux incessant de véhicules motorisés vont dégrader l’habitat naturel d’espèces animales et défigurer le paysage d’une vallée qui attire chaque année des touristes de plus en plus nombreux.

C’est pour des raisons de tranquillité et de qualité de vie que les habitants de la haute vallée de Chevreuse sont venus s’installer dans les communes concernées. Le choix du tracé actuel va avoir pour conséquence la création de nuisances diverses : bruits, pollution et dégradation de la nature. Il ne s’agit pas d’imposer à des milliers de personnes, qui ont fait le choix de la tranquillité quitte à parcourir des kilomètres en plus pour se rendre sur leur lieu de travail, un tracé qui ne respecte pas leur choix initial.

Le collectif demande l’aménagement de la nationale N10. Ce projet limite les nuisances car traversant les zones d’activités des communes concernées, il ne traverse ni les forêts, ni les sites classés et facilite l’accès aux différentes gares SNCF. C’est la solution la plus écologique en terme de nuisances sonores, de dégradation de la nature et d’incitation à l’utilisation des transports en commun. De plus, le projet est soutenu par l’actuelle députée de la deuxième circonscription des Yvelines Valérie Pécresse, Ministre actuelle de l’enseignement supérieur, ainsi que ses collègues députés des autres circonscriptions des Yvelines.

Au lendemain du Grenelle de l'environnement, le gouvernement se doit d'agir pour le bien de notre environnement, aujourd'hui de plus en plus menacé.

Yeeni

Lettre mise à nu pour Jean-Michel Rabeux

Nous venons, nous, adeptes du théâtre, et de la joie qu’il nous procure, demander une requête à ce sujet. En effet, nous avons pu assister aux différentes représentations de Jean Michel Rabeux et nous lui adressons cette lettre ouverte afin de comprendre le but de ses mises en scène et le message qu’il veut transmettre à travers elles.

Le problème est celui-ci : Jean Michel Rabeux a pour habitude, dans toutes ses représentations (On purge bébé de Feydeau, Le Sang des Atrides, ou encore Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare) de montrer à ses spectateurs, des acteurs ou actrices dénudés.
Vous allez me dire : « pourquoi pas ? » Et c’est cela exactement le souci. Ses nus sont à notre goût complètement injustifiés et inutiles. Nous avons eu la chance de rencontrer ce célèbre metteur en scène lors d’une entrevue après une représentation, et de lui demander : « pourquoi donc tous ces nus ? » Voilà quelle a été, plus ou moins, sa réponse : « vous n’êtes que des petits amateurs de théâtre et vous ne pouvez pas comprendre mon art ». Quelle belle répartie !

Allons nous laisser le théâtre être ainsi dégradé ? Allons nous accepter que de « jeunes débutants» dans le monde du spectacle, aient une telle image du théâtre? La pornographie et la nudité apportent-elles un enrichissement des pièces choisies ou ce choix est-il simplement gratuit ? Ceci n’est certainement pas un jugement sur les préférences littéraire –Le Marquis de Sade -, ou sur le travail de Jean-Michel Rabeux, qui est tout de même un metteur en scène reconnu en France ; cette lettre est, pour nous, un moyen de saisir sa pensée et sa façon de concevoir le théâtre.

Nous tenons, pourtant, tout de même à dire que, pour sa dernière mise en scène, le nu était plus justifié, de part le choix de l’écrivain et du thème de la pièce. En effet, nous connaissons Le Songe d’une nuit d’été comme la pièce la plus « osée » de Shakespeare puisqu’il y parle d’amour mais également d’adultère et de sexe. Le fait que Jean-Michel Rabeux ait choisi d’asexuer les personnages est partiellement justifiable, mais des choix tels qu’un monstrueux penis montré sur scène l’est beaucoup moins. Il est donc dommage de d’asseoir sur son siège en sachant, à l’avance, ce qui va résulter de la représentation de ses pièces.

Quoi qu’il en soit, nous espérons que sa prochaine création ne soit pas aussi prévisible que les dernières !

Charlotte Bé, 6 janvier 2008

"les Mozart du métro"

Depuis 1989, Daniel Mermet met sur les ondes de France Inter, des emissions et reportages en rapport avec l’actualité sociale. Si l’on revient au mois de janvier 2007, un reportage d’une quarantaine de minutes était consacré au « métro academy ».


Le métro academy est le nom donné au phénomène qui envahit les couloirs des métros. Les musiciens qui sont installés là et qui jouent leur musique proviennent de l’EMA. L’EMA est l’Espace Metro Accord. C’est l’endroit où l’on selectionne les futurs musiciens du métro. C’est une sorte d’audition qu’ils doivent passer pour avoir le droit de jouer ; certains d’entre eux parlent d’un entretien d’embauche. En effet, même s’il peut y avoir des professionnels, ils n’ont pas tous un travail à côté. En revanche, ce qui les réunit tous est le bonheur de partager leur musique ; la musique permet également de « rendre le métro un peu moins impersonnel ».

L’EMA retient sur les mille candidats qui se présentent chaque année, seulement trois cents cinquante musiciens afin d’accompagner les deux millions cinq cents mille voyageurs. Ce sont des salariés de la RATP qui servent de jury ; ils doivent se mettre à la place des voyageurs afin d’évaluer les musiciens qui se présentent. Une fois sélectionnés, il y a quelques règles à respecter (par exemple : le premier installé à la place ou le fait qu’un agent de la RATP peut demander à un groupe de se deplacer).

Malgré ces quelques règles, les musiciens du métro sont contents de pouvoir partager leur passion et par la même occasion de joindre l’utile à l’agréable. En une journée, l’argent gagné varie entre 20 et 50 euros. Cela dépend de la chanson, de l’humeur des gens et du contexte social (par exemple, au moment de Noël, les gens sont souvent plus généreux). Ainsi, pour maximiser leurs chances, ces musiciens ont plusieurs secrets : d’une part, choisir un quartier par rapport à leur style de chant, d’autre part, retourner aux endroits habituels, ce qui permet de fidéliser la « clientèle ». Certains vont préférer jouer sur l’exotisme, la curiosité en utilisant des instruments peu répandus en France tels qu’un instrument traditionnel japonais ou un balafon, pendant que d’autres vont favoriser un moment de la journée qu’ils pensent mieux adapté à leur musique. « Il faut que le public soit réceptif sinon ça ne fonctionne pas ».

En effet, jouer dans le métro ce n’est pas comme jouer dans une salle. Tout d’abord, il faut réussir a interesser les passagers, qu’ils fassent attention à la musique. Puis, dans une salle, les spectateurs sont « conquis », ils sont là pour écouter alors que le métro reste un lieu de passage. Mais, comme l’affirme l’un des musiciens, « lorsque les gens s’arrêtent pour écouter, cela est plus gratifiant ». Ainsi pour plaire au jury et à la foule, ces musiciens insolites doivent avoir une certaine aisance, du dynamisme, de la bonne humeur et parfois donner un peu de dépaysement.

Pourtant cela n’est pas toujours simple. En effet pour la plupart il s’agit d’un moyen de ganger sa vie, la première fois n’est donc jamais facile. Ils ressentent de la peur, de l’angoisse, jouent mal et se sentent un peu SDF. Mais lorsqu’ils trouvent un public et sont reconnus par la suite comme auteur-compositeur-interprète ; ils sont fiers d’avoir eu ce tremplin et de porter leurs histoires jusqu’au bout.

Ce phénomène de « métro academy » se développe internationnalement ; en effet Tokyo, Londres et Amsterdam abritent déjà les musiciens du métro. Maintenant si l’on souhaite les écouter en France, il suffit de prendre le métro parisien. Ils sont partout de Bastille à Montparnasse en passant par la Gare du Nord ou la Place d’Italie.

Réponse de Gustave Eiffel à la lettre collective contre la construction de la Tour




Chers Confrères !

Je vous appelle confrères parce que, tout comme vous, mon but est la construction de quelque chose de beau. En tant qu’ingénieur entouré d’architectes de renom (Émile Nouguier et Maurice Koechlin) dont le but est aussi de concilier la beauté et la stabilité de la Tour, je nous considère comme étant liés par l’art et ferai tout mon possible afin de ne pas abîmer notre cher Paris !
Je vous assure que cette Tour n’écrasera pas non plus les autres monuments chers à nos cœur ; ce n’est nullement mon intention. Au contraire, elle fera de Paris une ville où les styles et les époques se rencontrent et se complètent. La tour, je vous assure, sera un enchantement pour cette si magnifique ville ! Sans fausse modestie, je suis l’auteur de belles et solides réalisations qui sont visitées et adulées. Pourquoi douter de la tour ?
Vos accusations et vos doutes ne sont donc pas fondés. Les touristes, au contraire, vanteront le fait de pouvoir visiter une diversité de choses. Je suis bien conscient de l’insolite du futur monument mais je ne doute en aucun cas de son succès.

vendredi 4 janvier 2008

"Chers internautes,

J'aimerais vous faire part d'un sujet qui me révolte au plus haut point.
Il y a de cela une semaine, je suis allé dans un magasin dans l'idée de m'acheter un ordinateur pour enfin avoir l'aubaine de découvrir les joies de surfer sur internet... Mais à ma grande stupéfaction, lorsque j'ai demandé au vendeur s'il pouvait me vendre une machine ayant linux comme système d'exploitation (linux est une organisation libre qui developpe des softs et des logiciels de la même maniere que windows mais gratuitement), il m'a répondu que c'était tout simplement impossible ! Après lui avoir demandé quelques explications, je me suis rendu compte que lors de l'acquisition d'un P.C, il était désormais obligatoire d'acheter la licence windows car le système est pré-installé sur chaque machine avant même qu'elle ne soit vendue. J'ai alors voulu savoir s'il était possible de se la faire rembourser après l'achat, le vendeur m'a répondu d'un ton sarcastique : "Oh oui, bien sûr ... en faisant un procès à Microsoft!" C'est vrai après tout... on ne parle que de trois cents euros suplémentaires à verser pour un logiciel que l'on désinstallera en arrivant chez soi à cause de son manque de fiabilité ! Tout le monde peut se permettre ce genre de gaspillage financier ...
En faisant quelques recherches (sur Internet !) j'ai appris que des arrangements existent entre Microsoft et quelques unes des plus grandes compagnies informatiques actuelles, telles que HP, Dell, Compak, ATI Graphics ou encore Broadcom qui sont pour la plupart des constructeurs ou des entreprises de composants, pour qu'ils ne developpent que des produits compatibles avec le logiciel windows allant même jusqu'à brider leur machine sur ce système d'exploitation. Grâce à ce type de procédé, Microsoft s'assure un monopole quasiment total dans le domaine de l'informatique et écarte ainsi toute concurrence même si peu génante soit elle ... C'est bien à coup de billets que l'on peut conquérir le monde, triste vérité ...
En effet, vous me direz que ce n'est pas un sujet neuf, que tout le monde est plus ou moins au courant, alors moi je vous dirai que cela ne fait qu'ajouter un brin de scandale à cette affaire puisqu'allant de procès en procès, même d'amendes en amendes, cette société préfère ne rien changer à ses petites habitudes, ce qui paraît plûtot évident lorsque l'on sait que le montant total des amendes n'atteint même pas de moitié le bénéfice réalisé grâce à ce genre de démarches crapuleuses... On préfère dénigrer la morale face au gain.
Merci d'avoir pris le temps de lire ma requête, et bon surf à vous sur le site de Linux."

Metro Academy… ou la « Star Ac’ du sous-sol »

Depuis 1989, France Inter diffuse une émission quotidienne de Daniel Mermet « Là-bas si j’y suis » qui est également accessible en ligne à l’adresse http://www.la-bas.org/, site « non officiel » qui permet d’écouter les archives de l’émission. « Là-bas si j’y suis » a obtenu le prix Ondas 1992, Scam en 1993 et celui du Conseil français de l’audiovisuel en 1998.

Le 3 janvier 2007, l’émission présente un reportage de Giv Anquetil et Pascal Pascarielo consacré aux chanteurs et musiciens du métro parisien, intitulé "Metro Academy" ou encore, comme l’annonce Daniel Mermet, dans le générique, la "Star Ac’ du sous-sol".

Micro en main, les journalistes captent l’ambiance sonore qui enveloppe les voyageurs, le grincement des rames qui entrent en station, le brouhaha provoqué par le ballet animé des passagers, des bribes de paroles et un air de musique quand le fracas s’apaise.

De Abbesses à Bastille en passant par Nation, ils vont à la rencontre de ces artistes qui, pour accéder aux couloirs du métropolitain, ont suivi le cursus sélectif mis en place par la Régie autonome des transports parisiens (RATP).

En effet, dans le cadre de sa politique culturelle rénovée dont l’un des objectifs consiste à ériger le métro en lieu de rendez-vous de la culture et des loisirs reflétant tous les arts, la RATP a créé l’Espace Métro Accords (EMA), en septembre 1997. Toutes les informations relatives à cet organisme sont accessibles sur le portail de la RATP dans l’Espace culturel, à l’adresse suivante : www.ratp.fr/corpo/esp_culturel/musiciens/index.shtml.

Structure d’accueil des musiciens « à la recherche d’une reconnaissance artistique ou d’un moyen de subsistance », l’EMA doit faire face à un nombre croissant de candidats à l’accréditation.

Pour environ 1000 postulants par an, 350 musiciens seront retenus après l’audition et l’entretien de motivation organisés par un jury formé de cadres et d’employés de la RATP.

Au cours de leur périple, les reporters s’entretiennent avec certains de ces lauréats qui ont pour nom Rachelle, Héléna et Cécilia, Ticia, Amal, Camilo, Marco, Mimi et Pepita, le groupe Bantousan, Frédéric et Jaffar du groupe Mademoiselle de Bucarest et Nabuko Matsumiya.

Une chanteuse lyrique, reconnaît qu’elle a choisi le métro après avoir exercé dans différents chœurs et qu’elle y a appris l’humilité. Au détour d’un couloir, c’est Nabuko Matsumiya qui apparaît avec son volumineux instrument traditionnel. Marié à un français, elle vit en France et interprète des chansons appartenant au folklore japonais. Plus loin, trois joueurs de balafons accompagnent de rythmes africains le flot de passagers en transit. Ailleurs, c’est cet argentin qui officie dans le métro depuis six ans ou encore ces clarinettistes qui affectionnent le jazz manouche et pour lesquels « c’est le bonheur » lorsque « la reconnaissance est dans le chapeau ». Enfin, Rachelle, auteur-compositeur- interprète, a choisi de chanter dans le métro afin de s’habituer au public. Mère divorcée, elle espère connaître la célébrité et chante chaque jour de 8 h 00 à 9 h 30 afin de pouvoir s’occuper de ses enfants. Pour elle, ce moment d’échange « soleil » avec les voyageurs lui permet de tisser un lien « affectif » avec les habitués.
Si certains ne se produisent qu’une heure trente par jour, d’autres jouent pendant quatre heures et tous apprécient l’acoustique exceptionnelle du métro parisien. Mais quelques-uns sont parfois amers pensant que « les gens s’en moquent »… Néanmoins, en moyenne, ils reçoivent de 20 à 50 euros pour leur production quotidienne, donnés par les usagers du métro qui manifestent ainsi le plaisir qu’ils éprouvent à ces rencontres impromptues. Cependant, d’autres, moins enthousiastes, admettent que c’est « agréable quand on passe » mais aussi qu'« on entend mais on n’écoute pas »… Pourtant, la RATP, par ce programme d’animations, souhaite offrir aux voyageurs une prestation de qualité et quelques moments d’émotions musicales !

De plus, son ambition ne se limite pas à ce rôle. L’EMA veut aussi permettre à ces artistes de mettre au point leur répertoire face à un public varié. Il espère également que certains seront découverts par des professionnels qui les engageront comme ce fut le cas pour Alain Souchon, Laâm, Michel Polnareff, Jacques Higelin, Dany Brillant, Manu Dibango, Ben Harper, Touré Kouna… Par ailleurs, la RATP complète maintenant son action en mettant gratuitement un fichier d’artistes à disposition des entreprises ou collectivités souhaitant organiser une manifestation.

Daniel Mermet a raison, la « Star Ac’ du sous-sol » est née !

En cela, il faut être reconnaissant à France Inter qui, par cette émission, offre à ses auditeurs et internautes la possibilité de saisir ces bribes de vie quotidienne méconnues. En effet, cette escapade, dans les méandres des couloirs du métro parisien, a permis de découvrir des personnalités respectables, anonymes, animées par l’amour de leur art.
Je réponds à ceux qui ont protesté contre mon œuvre. Oui, je dis bien mon « œuvre », car la Tour Eiffel est une œuvre au même titre que Les quatre saisons et Le buste de Lapérouse. Les critiques que portent les écrivains, sculpteurs, peintres et architectes amateurs passionné de beauté, ne sont pas fondées. Ils s’opposent à l’érection de la tour sous prétexte qu’elle serait inutile, hideuse et qu’elle ne serait pas en adéquation avec le goût français.Mais y a-t-il un goût français prédéfini ?
Par ailleurs, l’œuvre d’art n’a pas d’utilité propre car elle fait partie des arts futiles (contrairement à la technique). La fonction de l’art est de créer le beau. Parce que je suis un ingénieur, et non un artiste, je ne me soucierais pas de la beauté. Mais qu’est ce que le Beau ? En effet, la fonction de l’art est de créer le beau, mais il ne suffit pas à caractériser l’art car on retrouve la beauté ailleurs que dans l’art. De plus, la beauté est subjective, elle dépend de l’individu, de l’époque et de sa culture. La beauté n’est donc pas un critère valable pour protester contre la Tour.
La Tour Eiffel n’est pas un monument comme tous les autres vus jusqu’à maintenant. Elle ne sert pas à se recueillir et à prier, mais c’est cette différence qui contribuera à enrichir le prestige de Paris.
Les arguments de ceux qui s’opposent à la Tour son infondés et injustifiables. De plus, les schémas n’ont pas encore été dévoilés.