Mais où est donc partie madame la professeur?

Peut etre qu'elle ne veux déja plus nous voir ... Que fesons nous ? Nous postons sur des sujets aux choix pour avoir des notes ou nous attendons patiament <=(faute d'orthographe) le professeur ...

La bêtise n'a pas d'ethnie

"Le mot Soudan vient de l'arabe balad as-sūdaan, qui signifie littéralement « Pays des noirs »"
Wikipedia.

En 2003 le gouvernement soudanais lance une offensive sur les troupes rebelles ce qui semble être une guerre civile se termine par devenir un génocide , la communauté arabo-musulmane lance une sorte d'épuration ethnique visant à éradiquer la communauté noir!

L'ONU qui ferme les yeux dans un premier temps et condamne dans un second temps n'agit pas, mais je ne suis pas là pour refaire le monde mais analyser la bêtise humaine.

Voici la tête du président(omar el béchir) qui a laisser faire tout cela demandez - vous ci cette homme qui se proclame arabe ressemble t' il plus à un noir qu'à un arabe...

Munshy la révélation française?

Les habitués des salles de concerts vous le diront "Munshy est une valeure sûre de la scène française". Mais peut être ne connaissez vous pas ce groupe ? Munshy ce sont cinq seines et marnais qui officient dans une musique typée Rock/ Metal sans se fixer aucune limite artistique. En effet à l’intérieur de leur Rock/Metal enragé ils incorporent un grand nombre de sonorités passant par le hip hop, le reggae, le trip hop et la world music. Vous l’aurez compris Munshy n’est pas un groupe comme les autres et aime varier sa musique et ses influences.

Mais c’est surtout sur scène que le groupe se révèle le plus. Disons le franchement ce sont de véritables « bêtes de scènes ! ». Faustine la chanteuse du groupe se révèle être une véritable "front-woman" sur scène, variant entre des chants clairs, hurlés sans compter le phrasé hip hop qu’elle maîtrise également ! Les autres musiciens quand à eux bougent dans tous les sens ! Bref c’est tout simplement explosif ! Leur prestations impressionnent énormément et leurs ont donc permis de se forger une solide réputation dans le milieu musical français, le groupe a aussi gagné la final international du tremplin Emergenza ce qui a permis aussi au groupe de pouvoir tourner à l’étranger.

Enfin sachez également que le groupe vient de sortir son premier album et qu’il sera également en concert le 26 octobre à l’Empreinte pour une soirée « carte blanche » où le groupe partagera la scène avec d’autres groupes de la scène locale pour des duos endiablés ! Citons déjà les groupes Keriah, Fundé, Rd23, Domb…Enfin le groupe prépare aussi un clip pour son morceau jour de pluie.

http://www.dailymotion.com/video/xabft_videomunshypuzzle-mix_creation
http://www.myspace.com/munshy

Autoproduction et souscription

In the garden, neuvième album de Mano Solo, est sorti dans les bacs en mars 2007. Sept mois avant, une souscription est lancée sur son site pour contribuer à la promotion de l'album. En échange le souscripteur a un accès privilégié au site avec divers bonus, des titres en exclusivité et reçoit le disque avant sa sortie commerciale. Ayant quitté son label (le contrat ne lui convenant pas), le voici qui produit son album se confrontant à cette vision manichéenne qui oppose majors qui s'engraissent et pear to pear qui tue les artistes. Par cette démarche, l'artiste souhaite se démarquer de l'industrie du disque classique tout en montrant que la production artistique a un coût qu'il y ait un intermédiaire (ici une maison de disque) ou non. Cet acte lui permet donc d'affirmer aux amateurs de musique qu'acheter un disque est aussi un acte qui permet réellement à l'artiste de créer. "Je vais expliquer aux gens que s'ils veulent que Mano Solo existe, on ne doit pas le télécharger".

On ne peut pas dire que la souscription soit une réussite puisque seulement 2600 internautes se sont engagés, alors qu'à chaque nouvel album 70 à 150 000 albums sont vendus. L'artiste cherche donc une nouvelle maison de disque…

Ju

L'autogestion, un système pas si utopiste...

Combien d’entre vous pensaient qu’il fallait forcement une autorité supérieure à l’individu pour ne pas sombrer dans l’anarchie (dans le sens de chaos) ? L’Allemagne nous montre que anarchie et ordre peuvent s’accorder, via la société Bike system GmbH… L’usine de cette société située en Thuringe Nordhausen (quasiment à la frontière entre la Saxe Anhalt et la Basse Saxe) vit à l’heure de l’autogestion depuis le 10 juillet 2007, suite à un plan social, la société étant faillitaire… Les employés décidèrent, plutôt que d’attendre un hypothétique investisseur, d’occuper l’usine et de produire eux mêmes un « vélo-grêve », le but pour la survie de cette expérience étant de vendre d’ici le 2 octobre 2007 1800 vélos… Objectif atteint.
Ainsi l’expérience continue, grâce au soutien de différentes organisations anarchistes internationales comme locales (citons en France la CNT), diverses associations… L'achat de ces vélos contribue à rendre cette expérience viable, expérience servant presque de laboratoire pour tenter de trouver une alternative à notre ultralibéralisme économique en crise...

Quand on se renseigne un minimum, on remarque que cette victoire est loin d’être la première dans le domaine de l’autogestion. Elle est d’ailleurs la base de la première Internationale, puis elle a régit la vie de la Commune de Paris (fin XIX°). Plus récemment, c’est une pratique qui reprend du poil de la bête en Amérique du Sud, par la récupération d’usines abandonnées ou mises en faillite. Et certaines usines jouent cette carte en Europe aussi, l’autogestion figurant même aux congrès CFDT de 1970… Dans une moindre mesure, Wikipédia prend aussi ses sources dans ce concept, tout comme la série de tableaux "Do It Yourself" d'Andy Warhol... Sans compter la Nef des Fous, communauté expérimentale encore existante…

Comme quoi, le noir peut bien être l’espoir…. Celui d’un monde meilleur…

Pour contacter le personnel et passer commande ::

»Bikes in Nordhausen e.V.«
c/o. André Kegel,
Bruno-Kunze-Str. 39 - 99734 Nordhausen
Telefon: 03631 - 622 124 und 03631 - 403 591
Fax: 03631 - 622 170
eMail: fahrradwerk (ät) gmx.de

sources :
Autogestion sur Wikipédia
Anartoka
L'histoire de la Nef des Fous
Communiqués de presse de l'usine
Site Internet de cette démarche (en Allemand... fallait le choisir en langue vivante ^^)

Politique d'énigration

Lors d'une interview datant du 16 octobre de Thierry Mariani (député du vaucluse)
il précise" depuis le début j'explique que le test est basé sur le volontariat".

Faute de n'avoir pu nous duper sur sa bienveillance à l'encontre d'immigrant en règle soucieux
de subvenir aux besoin d'une famille qu'ils aimeraient faire venir en france.T.Mariani ne trouve rien de plus intéressant que d'appâter comme de vulgaires ânes à qui l'on met une carotte devant le museau pour le faire avancer. T.M. dit que le volontariat évite aux gens de longue et interminable attente mais précise t'il si que ces hommes et ces femmes qui sont le plus souvent salie par des stéréotypes et des "on dit" peuvent percevoir ce geste comme étant un ultime affront?

L'avenir nous feras part de la vérité , perdre son amour propre pour que sa chair devienne française... Comme si l'histoire se répété!!!

Radiohead vend sa dernière galette sur le net

Intéressante initiative qu'ont eu les membres du groupe Radiohead pour commercialiser In Rainbow, leur nouvel album, il est en effet intégralement disponible sur leur site avant même sa sortie dans les bacs et est vendu au prix fixé par l'acheteur (pour vérifier cela un petit click suffit vers http://www.inrainbows.com/). Autant dire qu'en cette ère internet, où il suffit d'avoir un concept original et de le développer sur le web pour s'assurer gloire et fortune (je pense aux créateurs de google et youtube pour ne citer que les plus connus), les petits anglais tappent fort (bien qu'ils n'aient besoin ni de l'un ni de l'autre). On peut d'ailleur se demander s'il ne s'agit pas d'une attaque directe contre une industrie musicale agonisante qui n'a pas su s'adapter a l'apparition de ce nouveau média de masse qu'est l'internet. Thom Yorke et ses compères nous montrent une issue possible ou du moins une voie nouvelle à envisager, peut être seront-ils un exemple pour les autres groupes mondialement connus, espérons-le...

Liberté d'expression

Je suis tombé sur un article sur Lepost.fr : "Les Sarkozy's déjà sur Meetic.fr"
Ce genre d'article sur un blog important m'a fait beaucoup rire ! (j'aime bien l'humour de certains internautes, comme un enchérisseur sur Ebay qui avait mis en vente... la Belgique !!!)

je voudrais d'ailleurs en profiter pour parler un peu de l'humour et la politique...
En bon appréciateur des Guignols de l'info, je ne peux m'empêcher de penser qu'il est difficile, maintenant, de faire de l'humour avec la politique, quand on entend ce qu'on entend sur notre président (son rapport avec les médias).
Il y avait un blog en ligne, que j'appréciais assez, nommé "Nico Shark" et dessinné par un auteur à webnotoriété, Frantico.
Alors, comment expliquer que les Guignols continuent d'être diffusés sur Canal+, mais qu'en contrepartie, le site "Nico Shark" ait du fermer face à certaines pressions, avec, notamment, une grosse attaque de pirates détruisant le contenu du site en laissant pour seule trace une ligne de code avec mention "R.G."? (à l'heure actuelle, c'est "presque réparé", puisque le site existe toujours, mais que tout son contenu à part un jeu en flash anecdotique a été supprimé).

Depuis quelques temps, j'entends parler d'une régulation d'Internet par l'Etat. Quand on sait ce qu'on ne trouve pas sur Google en Chine, on commence à s'inquiéter un peu dans le reste du monde, même en démocratie. J'aime autant me dire qu'il faut profiter d'Internet pour s'exprimer tant que la liberté d'expression n'est pas encore menacée.

Perdu mes sources...

Britney Spears, une valeur sûre

Britney is back. Après 3 ans d'absence, elle a sorti début septembre *Gimme More*, son nouveau single annonçant un 5eme album attendu pour le 29 octobre. Ce titre à la fois accrocheur, cocasse et bigrement concupiscent est une vraie réussite musicale et commerciale, du niveau de ses précédents tubes tels que *Toxic* ou *Slave 4 U*.


Un tel retour et un tel morceau méritait promotion et célébration en grandes pompes; les MTV Video Music Awards 2007 (VMA) constituaient à ce propos le point d'orgue de cette grande commémoration internationale. Pourtant, la prestation donnée au célèbre show américain fut des plus alambiquées. En effet, en plus d'une tenue encore plus minimaliste qu'à son habitude et d'un play-back quelque peu approximatif, Britney offrit ce soir là à une audience médusée une prestation hésitante et pas très réussie, pour ne pas dire titubante et complètement ratée (à noter que cette prestation est disponible en libre téléchargement sur le site suivant: http://www.britneymedias.com/downloadcenter/). Plusieurs raisons à cette piètre prestation ont depuis été avancées: un talon cassé dès le début du show (hum) ou encore une dispute avec sa coiffeuse en loge juste avant l'entrée en scène (hum hum). Mais l'hypothèse la plus plausible reste encore que la jeune femme ne se soit pas encore remise de ses récents déboires (divorce, alcoolisme, cures de désintoxications, divers problèmes avec la justice, etc) que je n'énumererai pas ici par soucis d’éthique.


Il n'empêche que cette prestation reste absolument fascinante à regarder du fait de sa présence très inattendue dans une telle émission habituellement réglée au millimètre (le passage a d'ailleurs été coupé dans la version retransmise en Europe). Comme si l'on assistait en direct à la chute d'une icône, et de plus, nous rions de la voir ainsi empêtrée. Un point de vue sarcastique, me direz vous et il est vrai que devant tel spectacle, impossible de ne pas penser que la pauvre fille est totalement brisée et désorientée. Mais quoi de plus normal lorsqu'on s'est construite, depuis l'âge de 6 ans, au sein même du système médiatico-commercial, qui ne laisse sans doute pas grand place à l'épanouissement personnel d'une adolescente, ni aux choix de celle-ci.
C'est d'ailleurs peut-être ça la grande force de Britney, finalement, nous insuffler un panel incroyable d'émotions, même les plus contradictoires.

Radiohead et une révolution !

Depuis le 10 octobre , le groupe de rock Radiohead propose à l'internaute de s'acquitter du montant de leur choix pour télécharger son dernier album " In Rainbows ".Radiohead jouit d'une réputation internationale , et peut se permettre un téléchargement libre .

Si cette pratique ce répand , plusieurs problématiques vont se poser :
-Les "petits" artistes , pourront-ils se permettre ce genre d'action?
-Les artistes ne risquent-ils pas de voir une réduction considérable de leurs gain?
-Quel retentissement auront ces action sur le monde de la distribution musicale?

Pour le moment , il est trop tôt pour tirer des conclusions , mais Radiohead a sans nul doute engrangé une révolution dans la manière de commercialiser sa musique.

ZENZILE : LE ROI DU DUB FRANÇAIS EST MORT

Formé en 1995, Zenzile est perçu, depuis sont premier album sorti en 1999, comme l’un des pionner du Dub Français. D’albums en albums, ce quintet d’Angers’affirme un style inspiré des musiques jamaïcaines, dans des ambiances électro-dub coloré par des sonorités rock.

Ce groupe très actif (12 disques si l’on compte les maxis est les projets parallèles) nous avait laissé comme dernier souvenir une compilation, sélectionné par leurs soins, des artistes dub internationaux d’époques et de régions divers. Les fans du groupe ne peuvent donc que contempler l’attachement de Zenzile au style qu’il développe depuis 10 ans. Et pourtant… !

Voici que dans les bacs de nos disquaires, «Living In Monochrome », le 5ème album de Zenzile, sortie le 09 Septembre de cette année, se trouve sur le présentoir au rayon…rock !
Surprise pour beaucoup, déception pour certains, et engouement pour d’autres. Telles sont les réactions que l’on peut avoir lorsqu’on écoute « All Day Breakfast » et son riff possédé sortit tout droit d’un rock des 80’s, ou encore la pop synthétique de « Who’s For Real », les sons discoïdes de « Sham »,…De plus, les voix sont à l’honneur avec divers collaborations aussi inattendus que le son de cet album mais qui s’y colle parfaitement.
Ce sont les influences post-punk et rock des années 80 qui jaillissent complètement au premier plan, alors qu’elles n’étaient que supposées dans leurs précédentes compositions.
Alors, au final, le roi du dub français aurait trompé son peuple ?
Pas exactement; et le titre « Rising Fist », seul soubresaut jamaïquain de l’album, est là pour nous rappeler qu’il sait encore lui être fidèle.

“Ce cinquième album s’émancipe totalement et ose ouvrir son spectre sonore.(…) Le rock et les riffs de guitare s’invitent à ce melting-pot, de même que la pop ou le funk qui se déclinent entre souvenirs disco frénétiques et tangente electro.” Rock’n Folk.

Cet album est peut-être simplement le bouton du pantalon qu’il fallait enlever. Car après avoir ingurgité 11 disques où de multiples facettes du dub ont été développé sans trop oser expirer leurs influence rock, le gros ventre de Zenzile se lâche avec son 5ème album et nous propose une nouvelle approche de leur musique, toujours d’une très grande qualité, fidèle malgré tout a leur nom, mais laissant de coté le domaine dans lequel il a si bien régné.

http://www.zenzile.com/

www.myspace.com/zenzile

Radiohead innove grâce à internet, pourquoi pas!

Le groupe de rock anglais, Radiohead marque l'histoire de la musique grâce à sa spécificité en vente de disque avec internet.
En effet, son septième album sortie le 10 octobre intitulé "In Rainbows" crée une vive réaction dans la presse non pas par sa nouveauté mais plutôt par le téléchargement légal et quasi gratuit du tube sur internet pour les consommateurs et qui de plus fixent eux même le tarif. Du jamais vu jusqu'à présent!
Cette intention du groupe est pour moi quelque chose qui parait très révolutionnaire mais moderne dans le domaine musical ( culturel). Non seulement ce groupe créé une approche plus intime avec ses consommateurs parce qu'ils ont libre choix mais aussi une confiance pour leur jugement. Il n'est plus question d'argent mais de revaloriser la musique , il ne cherche pas à s'enrichir mais plutôt à faire plus écouter et aimer la musique.
Pourquoi pas!
Radiohead a décidé d'être plus libre dans sa carrière artistique car avec les contrats des maisons de disque cela n'est plus. En employant le moyen de communication le plus utilisé à l'heure actuelle, internet ; leur publicité pour leur nouvel album est beaucoup plus efficace mais jusqu'à quand pourra-t-il tenir son engagement?

Pour son dernier album, Radiohead adopte une excellente stratégie marketing

La mise en vente du dernier album du groupe de rock mondialement connu Radiohead à fait beaucoup de bruit. En effet le groupe propose sa dernière création, intitulée In Rainbows, en téléchargement sur son site. La particularité de cette action vient du prix de vente, laissé libre à l'acheteur.

A cette offre peu orthodoxe vient s'ajouter la possibilité d'acheter un coffret fabriqué uniquement sur commande contenant l'album de dix pistes précédemment sité, sur CD ET vinyle, un autre CD contenant huit nouvelles pistes ainsi qu'un livret de paroles et des illustrations. Ce coffret sera lui vendu pour 57€.


Tous les médias ayant parlé de cette mise en vente spéciale, le groupe a donc reçu une publicité énorme, ce qui facilitera la vente de leur album même si le prix est libre. Même si certains verront cette action comme une ouverture d'esprit du groupe et un accès libre à la musique, on peut aussi voir ça comme une excellente stratégie marketing visant a vendre plus sans avoir a payer les coûts de production matérielle.


Néanmoins, la psychologie de certains consommateurs (la majorité actuellement) veut qu'un achat soit forcément "récompensé" par quelquechose de matériel, de palpable. Or ce n'est pas le cas de la musique téléchargée! C'est ici qu'intervient le coffret qui permet d'acheter l'album plus que complet tout en ayant quelquechose entre les mains, et ce en évitant toujours les coûts de surproduction puisque ce coffret n'est disponible que sur commande... Bien joué Radiohead!!!

Radiohead, une nouvelle forme de Rockn'roll attitude?

Pour la sortie de son nouvel opus "In Rainbows" Radiohead a décidé de le mettre en téléchargement légal sur internet. L'innovation me direz vous? Et bien tout simplement elle vient du fait que c'est l'internaute lui même qui fixe le prix auquel il compte acheter l'album.

A première vue on pourrait croire que ce "nouveau" système de distribution d'un album est très risqué, cela pose la question de la valeur de l'objet. En effet combien les fans seraient ils prêt à payer pour leur groupe préféré? Cependant ne perdont pas de vue que Radiohead est un groupe de rock qui connait un véritable succès, donc le risque que ce nouveau système de vente ne fonctionne pas est très minime.

Ceci pose d'ailleurs une autre question, est-ce que des groupes moins connu pourraient se permettre d'utiliser ce genre de système pour vendre leur musique? Pour un groupe de moins grande envergure le risque de "perte d'argent" est beaucoup plus grand. On imagine mal un groupe en autoproduction comme par exemple le groupe de reggae Fundé utilisé ce "nouveau" système de vente. D'autant plus qu'il s'agit ici de produit "virtuel", non d'un véritable produit que je qualifierai de "matériel".
Cependant pour ceux qui comme moi préfèrent les bons vieux cd's ou vinyles, sachez qu'une "box" sortira par la suite avec à l'intérieur un double cd, sa version vinyle ainsi que des photos numériques du groupe! De quoi contenter les amateurs de beaux objets! Sachez également que la version cd de l'album sortira dans les bacs début janvier 2008.
http://www.inrainbows.com

Internet, ou les malheurs du téléchargement

Depuis que « la merveille Internet » existe, nous avons tous accès à … Tout, enfin presque : on bénéficie donc d’une grande source d’informations sur diverses choses, nous pouvons communiquer en direct ou en différé, s’échanger des fichiers ou écouter de la musique voir des films aussi, mais à quel prix ? Le TELECHARGEMENT ILLEGAL. Bien sur « sa majesté Internet » ne pouvait pas qu’apporter services et bonheur … Si les maisons de disques profitent de ce très efficace outils de communication (toucher une très large population et peut –être à un coût moins élevé qu’un espace de publicité dans un autre média), elles crient aussi « ô désespoir ! ». De même les industries du cinéma lancent l’alerte « on souffre on s’essouffle ! ».
« Chers internautes vous qui reconnaissez abuser l’économie en vous autorisant le droit au plaisir gratuit, quels sont vos arguments ? Est-ce le prix mirobolant des albums musicaux qui aujourd’hui coûtent en moyenne vingt euros quand ils coûtaient vingt francs il y a dix ans ? Ou celui de la place de cinéma qui revient en moyenne à dix euros (chez Pathé, Gaumont et autres grandes distributions) sans tarifs préférentiels ? »
« Oui nous pirates, déclarons avoir le droit à l’accès gratuit à toute forme de culture, et préférons donc rester tranquillement assis sur nos chaises de bureau, profiter du confort de la maison et des pochettes scannées de nos groupes favoris ». C’EST MAL ! La menace pèse : prison et amende salée
Mais l’avenir se tourne vers l’achat direct sur internet. C’est ce qu’on compris nos grandes sociétés désabusées et nos artistes préférés ! Ils lancent alors des sites de téléchargements légaux qui apparemment ne feraient pas encore succès… Gardez espoir j’ai envie de dire.
Affaire à suivre…

Qu'est ce qu'un buzz? c'est ce que vient de créer Radiohead en sortant son dernier opus le 10 octobre 2006,avant la date prévue mais aussi et surtout en le "vendant" sur Internet. Où est l'originalité direz-vous? Aujourd'hui tout s'achète par le biais d'Internet,musique (nous parlons de téléchargement (légal bien sûr!) et autre. Eh bien c'est "à votre bon coeur". http://www.europe1.fr/culture/article.jsp?idboitier=748051

Radiohead ferait la charité? Loin de là.Cela serait surprenant surtout venant d'un groupe de leur envergure.En réalité, étant donné qu'il n'existe plus de contrat entre eux et leur maison de disque il a bien fallu trouver un moyen de diffuser l'album.Et quel moyen plus efficace, plus moderne et surtout plus actuel qu'Internet permettrait de le promouvoir.D'ailleurs ces derniers ne sont pas les seuls à user de cette méthode.Beaucoup prennent leur envole et se démarquent grâce au web,au phénomène My Space (Kamini, Koxie ou encore Kenza Fara). C'est ce qui est du domaine du révolutionnaire car Radiohead n'a aucunement besoin de tisser sa "toile" puisque le groupe a déja du vécu.Ce "buzz" ou bouche-à-oreille n'est il pas un moyen d'attirer une nouvelle clientèle?Fort problable car à l'ère d'Internet nul ne peut passer à coté du téléchargement légal comme illégal (nous l'avons tous fait au moin une fois!). N'est-ce pas un moyen, en proposant au public de fixer son propre prix, de créer un déséquilibre dans le domaine du téléchargement illégal.La musique étant un monde où les affaires sont difficiles surtout actuellement sur le plan économique,c'est peut être un nouveau procédé (ou un appel au secours) que d'autres ne tardons pas à expérimenter afin que les affaires florissent à nouveaux...

Quand Internet remplace les maisons de disques

Là ou certains essaient de fixer des règles pour le téléchargement,d'autes l'utilisent!On pourrait croire que ce sont les internautes,mais ce sont bien des musiciens(ex:Radiohead)ou les maisons de disc(Universal)qui mettent a disposition de tous,de la musique"légale et gartuite"!
(http://www.trends.be/fr/economie/high-tech/12-1637-43879/universal-se-lancerait-dans-le-téléchargement-de-musique.html)

Certains l'utilisent comme une certaine preuve de l'amour de leurs fans,ou pour ne pas perdre l'argent que rapportent les CD!Le cas de Radiohead avec ce nouveau Cd"In Rainbows" soulève la question du prix puisque les fans achètent sur internet!Mais il y aura aussi la question de la valeur de la musique,puisque nous sommes face à une nouvelle génération élevée au numérique.(http://www.rue89.com/2007/10/06/choisissez-vous-meme-le-prix-du-prochain-radiohead) On pourrait donc parler d'une crise du marché du disque!

Mais après tout,cela gène parce que ce sont toujours les premiers à se lancer dans une nouvelle stratégie d'approche du public et de vente qui soulèvent la polémique!!!Ce qui ne sera peut -être pas le cas quand ce seront des artistes qui touchent des publics encore plus vastes,et que la vente d'un produit sur la toile deviendra un mode de fonctionnement!!!

Bonté d''âme ou stratégie?

Le 10 Octobre de cette année, le7ème album « In Rainbow » du groupe Anglais « Radiohead » est disponible sur Internet en téléchargement. Le prix ? C’est au consommateur de décider de la valeur de la musique du groupe, ou l’achètera en fonction de ses moyens. Une grande polémique éclate. Quelles sont les raisons de cette liberté des prix fixés par les fans ?Pourquoi ? Serait-ce une nouvelle stratégie commerciale ?

Si stratégie il y a, dans son reportage, Raphaëlle Shapiral la juge de risquée ;Oui lui répond le directeur du magazine musicale Frédéric GOATI. Mais l’argent pour eux n’est pas un soucis. Durant leur 17 ans de carrière, le groupe est toujours d’actualité et à eut une constante évolution et donc vivent principalement de leurs concerts. N’étant sous aucun contrat avec une maison de disque depuis 2006 ils ont la possibilité de faire passer leur produit directement du producteur au consommateur.
Selon le Time, lors d’une enquête en ligne environ un tiers des fans a conservé leur argent. Le prix moyen donné est de 4 £.Nous pourrions penser comme Raphaëlle Shapiral c’est un risque ! Mais peut être il y a réellement une stratégie dans tout cela. Frédérique Goati parle de stratégie commerciale , d’un très bon coup marketing. Les fans auront beaucoup moins de réticences à aller dans les concerts du groupe(la principale source de leur revenue) et d’acheter le coffret collector(au prix fort) que le groupe propose aux consommateurs…
Radiohead l’un des symboles musicale depuis des années, désoriente, surprend encore une fois ses fans et le monde à l’entour ! Mais cette fois, pour quelle cause ? Certains parlent d’arnaque d’autres d’une démarche honnête ! Moi je dirais profitons-en !

Alors que l’Art prenait le contrôle…

Bientôt trente ans après que Ian Curtis, le leader de Joy Division, ait été retrouvé pendu dans sa cuisine, le photographe Anton Corbijn réalise « Control », un long métrage sur l’un des ovnis de l’histoire du rock.

Dès sa sortie, la presse est unanime, « Control » est un chef d’œuvre : les plans, les couleurs (noir et blanc), les acteurs reconstituent parfaitement l’atmosphère de l’époque. Basé sur la biographie de la veuve du leader, le déroulement de l’action est criant de vérité.
Mais plus qu’une leçon de réalisme, « Control » est avant tout l’histoire d’un écorché vif, d’un poète noir comme il n’en reste plus guère. Prêt à tout donner pour son œuvre. Tel Rimbaud, à 23 ans Ian Curtis n’avait plus rien à dire.

Mais c’est après avoir digéré ce film qu’il semble encore plus vrai, ce noir et blanc apparaît comme le symbole d’une époque révolue dans laquelle les artistes livraient corps et âme. Depuis, les héros sont morts ou plutôt ils tentent par quelques stratégies commerciales de percevoir un salaire grâce au fruit de leur loisir.

La musique avant tout ?!

Le nouvel album, intitulé In Rainbows, que vient de sortir le groupe britannique Radiohead accentue la polémique sur le problème (très) actuel du téléchargement. En effet le groupe de rock a décider de mettre en ligne début octobre son album, laissant aux internautes le choix du montant.
Radiohead n’est pas le premier à faire une telle expérience. Par exemple au mois de juillet, Prince, autre icône de la musique anglo-saxonne, avait fait la distribution gratuite de son dernier album; Planet Earth.

Ainsi on peut se demander si le plus important pour un artiste est la musique ou les bénéfices liés (bien sûr s’il y a les deux, c’est mieux). Dans le cas présent, Radiohead connaît déjà une renommée mondiale , donc ils peuvent se permettre de laisser les internautes décider de la valeur(monétaire) de leur musique.
De plus, si l’on en croit le figaro.fr, la tournée qui suivra cet album devrait permettre au groupe de « trouver leur compte ».
Au final, interviennent les questions d’égalité et de concurrence déloyale. En effet tous les artistes ne vont pas forcément pouvoir rivaliser en suivant ce mode de diffusion. Tendance qui s’impose de plus en plus dans les domaines artistiques.

Radiohead fait l'aumône

Il est inutile de rappeler l'ampleur de la problématique causée par la sortie du dernière album de Radiohead.

En effet, libéré de leur contrat qui les rattachaient à leur major, le groupe de rock anglais a décidé de permettre à ses fans de télécharger leur dernière opus sur le site du groupe à un prix que chaque fan fixerai lui-même (voire même gratuitement) en fonction de l'argent que celui-ci serai prêt à dépenser pour se procurer l'album. Bien que cette démarche ne soit en fait qu'un moyen pour le groupe de présenter en avant première les morceaux de leur nouvel album qui sortira finalement dans les bacs de manière traditionnelle, il est tentant de penser que les musiciens de Radiohead ont inconsciemment voulu dévaluer leur propre travail et d'une manière générale le travail de tous les musiciens qui sortent des albums destinés à être vendus dans les bacs par l'intermédiaire des maisons de disques. Leur comportement n'est pas sans rappeler celui d'un musicien qui pratique sont instrument dans les couloirs d'une gare en espérant trouver quelque pièces dans son petit chapeau retourné poser sur le sole. Car si Radiohead encourage leur fans à faire circuler leur musique légalement sous une forme non palpable et sans rendre de compte à personne, c'est qu'il n'attache visiblement que trés peu de valeur à leur travail.

Il est intéressant aussi de noter qu'avant de faire commercialiser leur album dans les bacs, Radiohead à projeté de financer eux-même l'élaboration d'un coffret collector incluant le nouvel album en CD et en vinyle ainsi que les paroles, des illustrations, des photos et des titres supplémentaires qui devrait couter 57 euros et qui ne sera fabriqué que sur commande. Alors que penser de de ces deux aspects complètement opposés? Les vrai fans de Radiohead sont-ils ceux qui ne s'intéressent uniquement qu'à la musique, l'oeuvre artistique pure, en excluant toute notion pécunière liée à l'art et rejetant tous les artifices commerciaux qui entourent celle-ci et que proposent généralement l'industrie du disque, ou bien les vrai fans sont-ils ceux qui sont prés à payer chère pour avoir une piéce quasi-unique qui les plongent totalement dans l'univers graphique du groupe qui constitue l'essence même de leur inspiration?

ARTISTES OU OPPORTUNISTES...

Que penser des internautes découverts sur la toile?

Il est vrai que de nos jours, Internet permet la découverte de nombreux artistes via des blogs musique, les MySpace et autres…

Cependant, je ne peux m’empêcher de me demander à la vu ou bien à l’écoute des nouveaux « artistes internet », si cela permet la découverte de réels artistes.

Trop nombreux sont ceux qui font de la musique pour « délirer » et qui finissent dans les bacs.

Ce qui pose la question du rapport qualité / popularité.

La popularité du blog musique de cet internaute, permet-il de confirmer la qualité, le talent de leurs composition ? Non pas forcément, écoutez certains « artistes ». Je dis cela car c’est comme tel que les maisons de disques nous les vendent.

Ce problème est très vaste et demande une réelle interrogation sur les différentes notions en temps qu’artiste.

Mais cet article, s’agissait juste d’un petit « coup de gueule » contre les internautes qui se retrouvent numéro 1 du jour au lendemain.

La Chine, tout un empire… mais à quel prix !

20940,7 milliards de yans, en 2006, soit 2688 milliards de dollars de P.I.B. (produit intérieur brut) ; 1300 000 habitants ; 9 600 000 km², deuxième exportateur mondial derrière l’Allemagne mais devant les Etats Unis – selon la société d’assurance-crédit Euler Hermes SFAC, voici la Chine en quelques chiffres.

Mais que cache un tel développement ?

Le régime communiste qui gouverne la Chine s’est fixé des objectifs pour ce début de XXIème siècle. Il veut approfondir le régime de protection sociale déjà bien structuré afin d’installer une société prospère. Pour cela, le gouvernement profite d’un rythme de croissance économique remarquable grâce, entre autres facteurs, aux entreprises européennes qui y délocalisent leurs productions tant le coût de la main d’œuvre y est peu élevé (166 euros de salaire moyen mensuel pour un ouvrier).
Mais tout ceci a un revers. Selon le Quotidien du Peuple du 30 novembre 2006, le Ministre chinois du Travail et de la sécurité sociale aurait reconnu que la Chine est confrontée à une pénurie d’emplois que la croissance annuelle ne pourra pas absorbée avant plusieurs années. Lié à la migration rurale vers les villes et à la fermeture d’entreprises d’état, le chômage augmente ainsi de jour en jour.
Par ailleurs, cette croissance galopante mais inégalement répartie, générerait des maux majeurs. Parmi les plus importants relevés par différents observateurs, 320 millions d’habitants manqueraient d’eau potable ; à Dongguan, cité proche de Hong Kong, sur un échantillon de 5000 enfants, 22 % souffriraient d’intoxication au plomb…
La Chine se réveille, investit le commerce mondial mais, ce géant ne risque-t-il pas de laisser submerger par ce développement foudroyant ? Ne devrait-il pas assumer ses responsabilités en matière de développement durable comme va le faire très prochainement la France en organisant son « Grenelle de l’environnement » ?

Effy – 17/10/2007.

ET COUTE LA MUSIQUE ...

Enfin un groupe se détachant de la notion de royalties instaurée par les majors, pour vendre sa musique à l’état brut par téléchargement légal. Pour cela, Radiohead joue subtilement, en mettant les internautes face à leur morale.

Une nouvelle génération de support musical est née, celui du TELECHARGEMENT, et c’est mieux quand c’est légal ! Cette légalité permettra le développement des œuvres musicales et la possibilité à l’auteur de les vendre sans intermédiaires aux consommateurs, selon un prix non imposé. Ce mode de fonctionnement ouvrira la culture musicale à tous.

Effectivement, il faut vivre avec son temps ! L’Internet est devenu un objet indispensable de communication et de partage. Les artistes encore inconnus ont déjà compris le système « peer to peer » (partage de fichiers) qui permet à certains de se révéler au grand publique tel que Kamini, Koxie ou dans un tout autre registre Cosmobrown. Ou d’autres, tel que Leeroy, (ancien chanteur du groupe Saïan Supa Crew) qui laissent leurs musiques en libre écoute (à l’aide de MySpace, par exemple).

Le système mis en place par Radiohead est révolutionnaire, chacun paie ce qu’il veut !
Les artistes toucheront les revenus des téléchargements. Certains internautes n’hésiteront pas à télécharger pour presque rien et souvent gratuitement, car dans notre société actuelle, la gratuité est presque un dû. En revanche, les véritables fans ne se soucieront pas de la vraie valeur commerciale de l’album.
"Radiohead pourrait faire plus de fric avec un demi-million de downloads qu’avec deux millions d’exemplaires vendus de OK Computer en magasin. C’est proprement hallucinant !"

Pour les artistes intéressés par le libre échange, le choix est vite fait. Plus de connexions, plus de téléchargements, plus de publics, plus de notoriété représente un développement des produits dérivés, tel que les coffrets collector, les exclusivités, … et surtout les concerts.

Pour Radiohead, c’est un succès. Depuis 7 jours, In Rainbows, leur nouvel album, fait l’objet d’environ 1,2 millions de demandes de téléchargements.. Malgré la faible moyenne de vente : 5,78€ , on peut estimer que la formule « It’s up to you » marche bien.
Malheureusement, la contrepartie de ce concept est l’effondrement d’une industrie existante, l’industrie du disque.

Cependant, cette formule marchera t-elle pour tous les artistes et surtout pendant combien de temps ? Et maintenant, WAIT AND SEE...

Source: www.Radiohead.fr et www.fr5.fr (émission "Revu et Corrigé" du 13 octobre)

Technique commerciale ou réelle révolution ?

Le groupe Radiohead fort de sa notoriété, à mis à la disposition du public de façon quasi-gratuite, son nouvel album "In Rainbows", sur son site Internet http://www.inrainbows.com/ depuis le 10 octobre dernier. Le prix accordé à l'album est ainsi laissé à la libre appréciation de l'acheteur, en fonction de la valeur que ce dernier lui alloue. Mais cela ne cache t-il pas en fin de compte, une démarche purement commerciale visant à doper les ventes du coffret collector ou au contraire est-ce un moyen de ne plus cautionner une façon "archaïque" de commercialiser de la musique ?

Contrairement à beaucoup de ses collègues, Thom Yorke, le leader du groupe, a toujours déclaré que le téléchargement illégal ne le dérangeait pas, l’essentiel étant que sa musique soit écoutée, nous affirme Le Monde dans son article du 1er octobre. Alors que l'industrie du disque a des manques à gagner à cause du téléchargement illégal, Radiohead, propose ainsi "une autre voie intelligente, basée sur la loyauté de leur public", pour reprendre les termes du magasine Libération du 1er octobre.
Le quintet britannique ne confirme donc pas la loi de l'offre et de la demande. En effet, le prix dérisoire de l'album génère bien évidemment une augmentation de la demande, mais n'entraîne pas une réaction des vendeurs visant à réduire leur offre ou bien à augmenter le prix.
Selon le site Gigwise, "In rainbows" aurait été téléchargé à 1,2 millions d'exemplaires sur la seule journée du 10 octobre 2007. Mais le groupe n'a pas souhaité confirmer cette source. On peut alors se demander s'il ne s'agit pas là d'une simple technique visant à booster les ventes…Quoi qu'il en soit le groupe a bien réussi son pari, puisque leur idée révolutionnaire semble remporter un franc succès.

Le succès et le buzz généré par l'initiative de Radiohead devrait inciter d'autres grands noms de la musique à faire de même. Oasis et Jamiroquai seraient parmi ceux-là, d'après le site le Telegraph.co.uk.
Nous terminerons par cette simple question : le pied de nez que Radiohead fait à l'industrie du disque, ne risque-t-il pas d'inciter les maisons de disques à porter plainte pour concurrence déloyale suite au manque à gagner que cela risque de leur coûter ?

L'origine du réalisme

1839, Gustave Courbet arrive à Paris il a 20 ans. Il a un profil assyrien, parle mal et méprise l’orthographe du «bon français». Le jeune franc-comtois apprend sa technique de l’intérieur de la peinture, c'est-à-dire en copiant encore et encore les chefs d’œuvres des maîtres et crée son style qui fait scandale. Il casse tous les sujets sans jamais les théoriser.
Son œuvre passe par tous les genres et objets, il ya des scènes de chasse terribles, des natures mortes invraisemblables ainsi que des représentations de l’ordinaire : son atelier, une après-dînée à Ornans, un enterrement à Ornans... L’ordinaire est peint dans la simplicité, la froideur du réel et de manière démesurée.

Ainsi ses autoportraits ne comportent aucune psychologie. Il peint des nues sans le moindre prétexte, si bien que le spectateur observe l’origine du monde, le sommeil et les baigneuses avec un regard à la fois concupiscent et honteux. Il transforme le beau en sexuellement attirant et le spectateur en voyeur. Il réalise d’autre part des paysages somptueux, parfois faits au couteau de cuisine, qui attirent par le soulèvement de pigments et repoussent de par la densité de la matière. La dualité reste une constante dans sa peinture.

Cet être dévoré par son ego s’impose et se met à dos ses contemporains : George Sand le méprise, « c’est nul et c’est bête rien de plus », Victor Hugo l’ignore ; Delacroix reconnaît son talent d’artiste mais dénonce « la vulgarité et l’inutilité de la pensée» et Baudelaire, ancien ami, lui reproche d’être un « maniériste du laid ». Seuls Zola et Proudhon reconnaitront en lui un maître.

Dans ses œuvres où il peint l’allégorie du réel et recrée la nature, se dégage encore aujourd’hui un parfum de scandale. Une rétrospective sur Gustave Courbet se tient aux galeries nationales du grand palais du 10 octobre 2007 au 28 janvier 2008.

Sources : Télérama hors-série sur Courbet, lemonde.fr, lefigaro.fr

"OPTIMISTICS"

Alors que tout le monde se pose la question de savoir quel est l'avenir du disque ou encore comment faire pour stoper le telechargement illegal, Radiohead relance la polemique.En effet, le groupe pop rock a mis en vente son dernier album sur internet à un prix...determiné par l'internaute.

C'est donc au public de determiner le prix de l'album et donc nous fait reflechir sur la valeur que nous donnons à une oeuvre d'art. Et il n'est pas inutil de rappeler je pense le fait que (même si j'ai moi-même du mal a le concevoir) l'artiste a le droit de vivre de son art et ce nouveau moyen de vendre des disques evitent de passer par de tres grandes maisons de disques que nous connaissons tous...

Cela dit, cette démarche très courageuse du groupe nous donne a reflechir sur l'art et sa place dans notre société: quelle(s) valeurs lui donne-t-on? Est ce seulement un produit de consommation ou bien un veritable outils de reflexion qui nous permet d'avancer?Suicide mediatique? Non, je ne pense pas. Les internautes semblent jouer le jeu et ceux qui le prennent gratuitement, soit, c'est leur droit et ils en ont tout a fait l'opportunité puisqu'on peut estimer le prix à partir de 0.

Néanmoins, on peut aussi se pencher sur un autre probleme. En effet, cette démarche n'eveil pas un sentiment de culpabilité qui le pousse à, de toute façon, donner un peu à l'artiste pour se donner bonne conscience?

Danse du « pot de gel » ou « danse d’épileptik » ?!

La Tecktonik nouvelle danse importée de Belgique, il y a 7 ans, est devenue un vrai phénomène de mode depuis l’année dernière. Inspirée par le hip hop (pour les battles), locking, poping, toprock, vogging ou encore jumpstyle et dansé sur de la musique hardstyle.

Les adeptes de cette danse aux allures désarticulées sont assez simples à repérer. Le point principal : la coupe de cheveux futuriste, pour le reste, le style vestimentaire n’a pas grande importance à part, une prédominance pour les slims et les baskets montantes. Ne sachant pas enchaîner deux pas de danse, je ne m’essayerais pas à vous décrire les différents mouvements, mais vous pouvez retrouver ces danseurs sur des sites comme DailyMotion ou YouTube.

Cette « street dance » a donné naissance à plus de produits dérivés (compil, marque de fringues, boissons énergisantes…) que n’importe laquelle de ses prédécesseurs.
Les puritains voient par l’engouement de la nouvelle génération, leur danse dénaturée à des fins commerciales. Pour eux, elle en perd jusqu’à son essence.

Mais est-ce vraiment le cas, ou est-ce une juste évolution d’une nouvelle mode comme une autre?

Solène

Le retour de Lorie

Et non je ne suis pas fan de Lorie mais son dernier titre "je vais vite" m'a arrêté net.Comment arrivons nous à produire de telles choses de nos jours ,c'est aberrant ...Il y a certain contrat qu'il faut accepter et d'autre refuser. Alors que la danse éléctro "techtonik", qui prend parfois une place démesuré ,vit son âge de gloire.

Que peut-il y avoir de pire que d'inclure de la techtonik pour le retour de Lorie .Le style de danse ultra branché Made in France qui à pour concept de bouger ses bras dans tous les sens sur une musique techno va sérieusement prendre un coup dur suite a la sortie de ce single .Pourquoi avoir associer le phénomène de mode des "ados" à une poupée mouvante, idole des jeunes filles de 11 ans ?Et dire que quinze ans de règne du duel rock/hip-hop venait presque de disparaître avec ce nouveau mouvement .


Je vous laisse perplexe devant cette vidéos (youtube) .Fou rire garantie :

http://fr.youtube.com/watch?v=r5qgrYoOT74

Le téléchargement : un cadeau empoisonné?

Arnaque et manipulation ou modernité et gratuité ?

Avis partagés…

Prenons exemple sur Radiohead :

Depuis le 10 octobre, les internautes peuvent télécharger leur dernier album « In Rainbows », directement sur le site http://www.inrainbows.com/.

Le prix de l’album est discutable…
De la gratuité de l’album à une somme indéfinie, voilà ce que propose Radiohead.
Environ 1/3 des fans n’ont rien donné en téléchargeant l’album, alors que les autres internautes ont payé aux alentours de 6€…
Mais les fans vont-ils payer deux fois leur album?
Un album téléchargé, un autre en CD… Cela engendre une certaine polémique .

Voici un énorme coup médiatique, ne serait-ce pas seulement leur intention?
Et cela a porté ses fruits, car même « Le Monde » en parle …

Ceci dit, Radiohead va servir de modèle à d’autres… comme Oasis ou encore Jamiroquaï.
Tout ceci ne risque pas de plaire à la Sacem et aux maisons de disques.
De plus, la musique du nouvel album de Radiohead n’a aucune protection une fois le téléchargement effectué. Comment les droits d’auteurs vont-ils être préservés ? N’est-ce pas le début d’une incitation au piratage même si pour cet album le prix est libre?
Petit clin d’oeil à la Sacem.

Ca, ça me gène…

Jusqu’à peu, quand on parlait de la France, beaucoup voyaient la France des Lumières, et des Grands, notamment Voltaire… Les français seraient-ils plus conscient à cette époque que maintenant ? 30 mars 1778, Voltaire était le premier écrivain « fêté » par la masse populaire, pourfendeur d’injustices se basant sur l’opinion publique… Voltaire fût ainsi de ceux dont les idées ont basé la notion même de République en France, s’articulant sur une de ses idées maîtresses : nul ne doit être jugé sur ce qu’il est, mais sur ce qu’il fait.

Récemment, le député Thierry Mariani a soumis au vote à l’Assemblée nationale un amendement concernant des test ADN pour « faciliter le regroupement familial », test qui seraient facultatifs suite au passage des amendements devant le Sénat et (les deux chambres n’ayant pas voté toutes deux pour ces amendements, merci au Sénat) une commission dîtes « mixte paritaire ». Mais un problème subsiste : ces tests ne peuvent pas faciliter le regroupement familial, puisque la loi dans laquelle ils s’inscrivent visent justement à l’inverse ! (relèvement du niveau de revenu nécessaire, le fixant à 1,2 Smic, connaissances des valeurs de la france, que beaucoup de français semblent ignorer…). Quels seraient donc leur but, si ce n’est préparer la voie à des quotas ethniques ?

Ainsi nous nous trouvons dans une situation où de manière officielle, un marocain ne vaut pas un algérien, qui ne vaut pas un turc, qui ne vaut pas un russe… et bien évidemment aucun ne vaut un français… L’inné prend le pas sur l’acquis… Nous nous ancrons dans une idéologie déterministe incompatible avec la notion même de démocratie (qui se base, par définition, sur l’égalité des chances, des droits et des devoirs). On ne peut s’empêcher de penser aux déclaration d’un candidat aux présidentielles sur le caractère génétique de la pédophilie et du suicide…

Ne perdons pas de vue que le fichage ADN était à la base réservé aux délinquants sexuels, notamment pédophiles… Il s’est rapidement élargi aux délinquants, et des délits comme « outrage à agent », « vol à l’étalage » ou autres du même tonneau peuvent faire l’objet d’un prélèvement… Les manifestations à venir seront-elles l’occasion pour l’Etat Français de recenser les opposants au régime ? En attendant des condamnations pour des motifs comme « possession de gènes d’anti-sarkoziste » ? Voltaire, reviens, on a besoin de toi...

Aurélien Rousseau

Sources :
- Marianne (daté du 6 au 12/08/07) pour les informations sur Voltaire
- http://bigbrotherawards.eu.org/Le-fichier-ADN-FNAEG-et-ses.html
- Débats et discussions lors du meeting au Zénith, organisé le 14/08/07 par Charlie Hebdo
Interview de Thierry Mariani sur le site internet du Figaro.
Lien pour l’interview : http://www.lefigaro.fr/france/20071016.FIG000000239_thierry_mariani_on_est_dans_le_fantasme_et_l_irrationnel.html

La musique, à quel prix?

Le téléchargement fait une nouvelle fois parler de lui, mais cette fois ci par le biais du groupe Radiohead. En effet, le groupe crée la surprise en mettant en "vente" son dernier album sur leur site internet avec comme principe pour le prix: c'est toi qui décide. Ainsi c'est donc à l'internaute de déterminer la valeur de l'album.

On peut alors se demander si la musique se destine à être gratuite dans le futur.

Actuellement le problème de la musique et son prix puisque lorsque l'on demande aux gens pourquoi il télécharge, la réponse est souvent que le prix d'un album est trop élevé.

Doit on positionner la musique comme un produit quelconque? Et comment trouver le prix de la musique?

La musique et un art, elle fait partie de la culture d'une société,elle ne peut donc pas être traité comme un produit.

Il faut à la fois qu'elle soit accessible à tous, puisque c'est son but, mais en même temps, les artistes qui la créent doivent toucher un salaire pour leur travail. La gratuité de la musique n'est donc pas une solution puisqu'elle prive les artistes de leurs droits, mais aujourd'hui, la musique, sans téléchargement, n'est pas accessible par tous du fait de son prix trop élevé.

Ce prix trop élevé est en majeur partie la faute des industriels de la musique ainsi que des distributeurs.

Radiohead a peut être trouvé un début de solution, tout d' abord en se détachant de l'industrie de la musique, mais aussi en combinant téléchargement et prix abordable par l'internaute. On se retrouve face à un téléchargement qui peut être à la fois payant et gratuit.

Mais cette situation reste possible pour un groupe de cette renommée. Pour un groupe naissant, il faudra trouver une nouvelle combinaison judicieuse, pour à la fois se faire connaître et pouvoir vivre de sa musique.

Un juste milieu doit être trouvé, afin que les artistes et le public puissent de nouveau s'entendre.
Agathe

RADIOHEAD, en tête de toutes les polémiques!

Radiohead est un groupe britannique internationalement connu, qui a beaucoup fait parler de lui ces derniers temps puisqu'en decidant de vendre leur dernier album sur internet, il ont par la même occcasion, revolutionné le monde de la musique.

En effet, l'internaute, qui souhaite acheter cet album ( "In Rainbows"), peut alors décider du prix qu'il va payer!



Ce choix du groupe, qui n'est plus sous contrat avec leur maison de disques a donc soulevé enormement de critiques, mais cette demarche de va-t-elle pas conduire l'industrie de la musique vers une catastrophe economique?

Probablement pas, puisque RadioHead est un groupe célèbre qui n'a pas forcement atteint la notoriété en vendant des CD (bien que, en prime, ils proposent un coffret comprenant un CD et un vinyle), mais plutôt organisant des concerts dans le monde.

En proposant le telechargement gratuit de leur album, RadioHead se livre alors dans un combat contre les Majors et donc, contre l'industrie musicale.



On peut alors se poser une autre question, comment peut-on fixer un prix, qui sera automatiquement personnel à chacun, sur un album? Cela revient à se demander si la valeur de l'art a vraiment un prix...

Coup de théatre, Radiohead entre en scène!

10 octobre 2007... C'est la date à laquelle le groupe de rock Radiohead a sorti son dernier album dont l'intitulé est "In Rainbows". Un nouvel album qui ne sera pas passé inaperçu, non pas parce que ce groupe est connu internationalement, mais grâce à un nouveau système de vente révolutionnaire exploité par Radiohead: la vente par Internet.
En effet, l'album est disponible depuis un site dédié, sur lequel aucun prix n'est fixé puisque c'est à vous de choisir: "it's up to you" comme il est dit sur le site. C'est une nouveauté que le groupe a pu mettre en place car Radiohead n'est plus sous contrat avec une maison de disque.
Un véritable coup de théatre, quand bien même cela remet en cause le système capitaliste où la musique n'est plus de l'art proprement dit, mais un produit. Radiohead donne ainsi à son dernier album une valeur plus artistique que les précédents, et se créer une bonne image dans le monde de la musique...

Le téléchargement "Net ment" Rependu

Le piratage de la musique connaît un essor considérable depuis l'apparition d' internet.Celui ci se limitait seulement à la copie de cassettes ou de disque, dont elle ne pouvait être partagée qu'au proche entourage.
Avec Internet est apparu le partage de fichier audio via le net, le Peer-to-Peer qui permet un partage des fichiers a l'échelle Mondial.Les coupables sont les logiciels tel que Nasper, KazaA ou encore Morpheus qui, étant gratuit, facilite l'expansion de cette pratique. Ces Logiciel subissent de nombreuses poursuites judiciaires de la part de l'industrie du disque, Notamment le Nasper qui fut trainé en justice par le groupe Metallica.
D'après la GFK ( Growth from knowledge), les français aurais téléchargé en 2006 entre 343 et 480 million de fichiers musicaux.
Cependant une alternative aux téléchargement illégale a été proposé récemment par l'industrie du disque qui affichait des pertes de 40%, le téléchargement légale, qui consiste après payement via internet, a télécharger un album ou un titre précis.Ce qui est un avantage pour les personnes désirant n'acheter que leur chanson préféré sans avoir à acheter un album complet; les singles ne proposant que le titre majeur du disque.
Face a cette démocratisation du téléchargement, certain groupe n'hésite pas à mettre leur musique en ligne, c'est le cas du groupe RadioHead qui a mis sont dernier album en vente sur leur site pour un prix de " it's up to you " soit " comme vous voulez ".Le groupe, n' étant plus chez EMI, propose à l'acheteur de fixer un prix quelconque.Cependant l'album sortira tout de même en version CD début 2008.On peut aussi voir que le groupe de speed Metal Allemand Helloween a mit en circulation 5 chansons de leur nouvelle album sur Youtube, l'album sortant fin Octobre.Certain groupe n'hésite pas à mettre leur album en ligne comme Hammerfall qui laisse un message précisant en plein milieu de leur chanson que la musique est téléchargé.
Cependant le téléchargement peut être bénéfique à certain "petits" groupes voulant promouvoir leurs musiques. Mais certain, qui essaye de vivre de leur musique, on besoin de l'argent provenant de la vente de CD qui est déjà bien absorbé par les maisons de disques.
Internet, plus précisément le téléchargement peut être bénéfique pour les groupes qui cherchent à se faire connaître, inoffensif pour les grands groupes, mais dangereux pour les groupes en expansions qui ont besoin d'argent pour continués à vivre.

Radiohead crée la polémique sur le téléchargement

Pour la sortie de leur dernier album "In Rainbows", le célèbre groupe britanique qui n'est sous contrat avec aucune maison de disque, laisse le libre choix du prix du téléchargement légal de l'album à ses fans.

Il faut bien savoir que celà est possible uniquement grace au succès et à la renommée acquise par le groupe. Plusieurs questions se posent, notament par rapport à la concurrence face aux autres groupes de renommée internationale et aux artistes peu populaires. Quelles sont les véritables intentions de Radiohead ? Selon eux, l'essentiel est que leur musique soit écoutée mais en proposant leur album téléchargeable gratuitement, ils engagent un combat contre les Majors qui mettent en garde contre le téléchargement illégal. Le groupe fait ainsi un pied de nez à toute l'industrie musicale actuelle.

Se pose également la question de la valeur de la musique. Comment fixe-t-on un prix ? Il s'agit d'une question étique sur la morale de chacun. En quelque sorte, Radiohead offre au public la possibilité de juger du prix de leur musique, de la valeur de l'album. Comment peut-on juger une oeuvre artistique objectivement ? Celà revient à débattre du prix de l'art.

Enfin, comment accepter de se faire imposer un article payant alors qu'avec téléchargement il est de plus en plus courant d'acceder au même produit gratuitement ?

Radiohead: révolution du disque ou simple arnaque commerciale?

Le nouvel album de Radiohead est enfin disponible. Intitulé « In rainbows », les 5 britanniques ont choisit une méthode toute particulière pour la mise en vente de ce premier CD auto- produit. Ils ont décidé de permettre le téléchargement de celui- ci sur leur site http://www.inrainbows.com/ dès le 10 octobre, en y ajoutant la mention spéciale « it’s up to you » concernant le prix.

Cette action, alors que le marché du disque est en pleine crise, peut être interprétée comme une volonté de provocation envers les majors. On ne cachera pas que le téléchargement illégal s’est démocratisé. Qui, aujourd’hui, veut acheter un album une fortune alors que l’internet ouvre grand ses portes à la gratuité ? Il est possible que Radiohead ait saisi l’opportunité de faire passer un message pour que, si leur démarche réussie, les majors réalisent que l’internet est le monde de demain.

Néanmoins, on doit se demander si Radiohead a réellement entreprit une révolution puisqu’il est probable que l’album sorte dans les bacs en 2008, ce qui paraît contradictoire par rapport à leur récente approche de distribution. Aussi, seulement un tiers des intéressés ont téléchargé l’album gratuitement. Le prix moyen étant de 7 euros. Rajoutons que le groupe a mit en vente, pour 57 euros, un coffret assez complet qui sera fabriqué sur commande. Les plus grands fans pourraient ne pas résister. Le groupe Radiohead a donc tout à y gagner.

L’illusion du renouveau n’a t-elle pas manipulé les esprits les plus naïfs ?

Yeeni

Souriez, vous êtes filmés

Les ordres du Président de la République Nicolas Sarkozy sont clairs: porter le taux d'élucidation des crimes et délits à 40% en moyenne (contre environ 36% aujourd'hui). Reste à trouver les composantes d'une série d'alternatives.

L'une d'elles répondra au doux prénom d'Elsa. L'Engin Léger pour La Surveillance Aérienne est un drone d'1 mètre de long sur 60 centimètres de large. Son autonomie de 40 minutes lui permet de filmer de nuit comme de jour un périmètre de 2 kilomètres. Le moteur de ses grands frères bourdonne depuis des années dans la Bande de Gaza.

"Face aux attentes pressantes et légitimes des citoyens, nous pourrions être tentés de payer un surcroît de sécurité d'un sacrifice en termes de libertés [...]". Ainsi la ministre de l'intérieur Michèle Alliot-Marie annonce t-elle le "commissariat du futur" lors de l'ouverture du salon Milipol à Paris le 9 octobre.

Par ailleurs le drone sera fabriqué à Nantes par la société française Sirenha. Ce faisant la ministre ajoute que "la sécurité de demain est aussi une formidable perspective de développement pour nos entreprises [...]".

Un prototype a été testé le 14 juillet 2006 sur une portion de la Seine-Saint-Denis à l'insu des maires concernés. Le refrain de l'insécurité est encore à la mode; au détriment des libertés individuelles.

sources: Isabelle Mondraud et Michel Bôle Richard dans Le Monde du 12 octobre 2007.


Le Petit Chaperon Rouge

Adieu la culture!

On débat beaucoup sur les maisons de disques et le téléchargement qui sont considérés comme les principaux responsables du déclin de l'industrie du disque. Mais les responsabilités de cette chute sont bien plus divisées.

Qui de nos jours peut se targuer d'être un vrai passionné de musique? Qui parcourt les magasins à la recherche du vinyle rare? Qui prend encore le risque d'acheter un cd même s'il ne connait pas très bien l'artiste? L'ère du numérique à bouleversé les mentalités.

Aujourd'hui il est facile de télécharger en un clique un album gratuitement ou remplir son i-pod de chansons que l'on écoutera jamais. Mais la culture à un prix et demande des efforts. Le prix d'un cd est une fausse excuse. On trouve sur Amazon et Priceminister des prix raisonnables voir dérisoires. Lorsqu'on voit les groupes de qualités sur les labels indépendants qui luttent pour survivre c'est navrant. Il est tout de même plus intéressant de posséder l'album d'un groupe que l'on aime qu'un cd gravé ou un mp3 froid et sans âme. Bientôt on téléchargera des livres et on visitera des musées devant son ordinateur...soyons sérieux.

La musique et le téléchargement montrent les dérives naissantes du monde numérique. Mais peut-on condamner ce monde riche et attractif? Je ne pense pas...le danger ne vient pas d'un ordinateur mais de celui qui l'utilise.

UN PIED DE NEZ A L'INDUSTRIE MUSICALE

C'est ce que vient de faire le groupe Radiohead.
Le quintet britannique n'étant plus sous contrat avec aucune major (dernièrement EMI), a créé une véritable polémique en décidant de mettre en téléchargement libre son nouvel album intitulé "In Rainbows" via son site internet (http://www.inrainbows.com/).
Et surtout une première en ce qui concerne le prix, le groupe laisse choix au consommateur: "c'est comme tu veux" indique le site sur la facture.
L'acheteur est alors le seul juge de la valeur de l'album en mettant le prix qu'il juge convenir.

Le groupe sortira un coffret collector qui sera uniquement réalisé sur commande au prix de 57€.
Le groupe prenant un risque minime sachant que la version CD normale de l'album ne sera disponible en magasin qu'à partir de Janvier 2008; alors pourquoi attendre et payer plus cher avec le circuit de distribution normal?

Radiohead fort de sa renommée et de son succès a pu saisir l'opportunité de bousculer le marché de la distribution musicale et ainsi soulever de nombreuses questions sur lesquelles devra rapidement se pencher l'industrie musicale actuelle: Le téléchargement, le prix des CD, les droits d'auteur, la diversité et le formatage de la musique...

Le groupe fera t'il des émules?

Selon les dernières nouvelles, Radiohead aurait dépassé le million de vente pour son téléchargement en ligne de son nouvel album, pour un prix moyen de 7,30€. Gageons qu'à ce prix là, chacun y trouve son compte.


Source: 20 minutes.

RADIOHEAD dédramatise " l'apocalyptique " téléchargement.

Dans le climat mondial actuel, très contrasté, face aux téléchargements, le groupe de musique Radiohead vient de rajouter un sujet conflictuel à la question du partage des informations de biens privées. En proposant à l'auditeur de fixer lui même le prix de leur dernier album via leurs site internet, le groupe ne fait que raviver une flamme déjà existante autour d'un sujet qui pose des questions fondamentales sur "l'art" en général.

Si l'on considère que la musique est un art, elle n'a de prix que par ce qu'elle apporte à son auditeur ; Cependant à son extrême opposé pour certains la musique est devenue un bien de consommation dans une société régie par l'argent. Non pas que la musique ne soit pas le fruit d'un travail et, comme nous le dit le dicton : "Tout travaille mérite salaire", mais, ce salaire contraint parfois les artistes à oublier les valeurs premières de leur art.

L'indépendance, comme nous le prouve Radiohead permet d'être en symbiose avec les valeurs de l'art, car elle résulte d'un choix. Celui de ne pas s'incliner face à une industrie du disque qui pense avant-tout en part de marché et en commerce artistique de masse.
En proposant à l'auditeur de fixer son prix face à l'appréciation du travail du groupe , Radiohead offre aux intéressés la liberté dans la valorisation du produit. Ce procédé permet surtout de dédramatiser ce sujet brûlant, sanctionné par la loi, en insinuant que l'important dans la musique c'est qu'elle soit avant-tout écoutée et non pas a tout prix commercialisé.